Même si de véritables progrès sont à saluer en la matière, et que les bienfaits du végétal commencent enfin à être reconnus à leur juste valeur, les Français réclament toujours plus de vert en milieu urbain. … La ville est un espace de refuge pour la faune et la flore, encore plus depuis que ses espaces verts sont gérés sans pesticides.
Cette nouvelle édition du Palmarès des villes vertes montre que le végétal est catalyseur de citoyenneté : l’implication des citoyens est privilégiée par les élus, au moyen de budgets éco-citoyen, d’initiatives de fleurissement des rues ou de compostage. L’objectif de réduction des disparités entre les villes du sud et du nord peut être conforté, notamment depuis qu’elles ont toutes pris le virage du zéro phyto depuis 2017.
Une légère hausse du budget moyen par habitant (1,5%) ainsi que la percée des investissements dans les espaces verts dans certaines collectivités comme Nice, donnent bon espoir que les vœux des Français pour une ville plus végétale, écologique et solidaire ont été entendus. Il s’agit toutefois d’une augmentation encore bien timide, qui ne permettra pas à ce rythme de faire face aux enjeux que les espaces verts peuvent résoudre et que nous mettons en avant depuis plusieurs années !
L’Union Nationale des Entreprises du Paysage (Unep), en partenariat avec Hortis , les responsables d’espaces nature en ville, dévoile les résultats de l’édition 2020 du Palmarès des villes vertes :
Angers, Nantes et Metz sont à la tête du classement des Villes les plus vertes, grâce à un patrimoine végétal important et à un volontarisme politique fort. Elles sont suivies de près par Amiens et Lyon.
La surface moyenne d’espace vert par habitant a progressé de 3m² (51m², contre 48m² en 2017)
Le budget moyen par habitant dédié aux espaces verts par les villes est lui aussi en (très légère) progression : +1,50€ (76€)
Cette 3e édition révèle que la préservation du patrimoine végétal urbain et son développement ont accédé au rang de priorités politiques pour la plupart des grandes villes du pays.
Dossier complet
Le Palmarès des villes vertes 2020 en un coup d’œil
Cette nouvelle édition du Palmarès des villes vertes montre que le végétal est catalyseur de citoyenneté : l’implication des citoyens est privilégiée par les élus, au moyen de budgets éco-citoyen, d’initiatives de fleurissement des rues ou de compostage. L’objectif de réduction des disparités entre les villes du sud et du nord peut être conforté, notamment depuis qu’elles ont toutes pris le virage du zéro phyto depuis 2017.
Une légère hausse du budget moyen par habitant (1,5%) ainsi que la percée des investissements dans les espaces verts dans certaines collectivités comme Nice, donnent bon espoir que les vœux des Français pour une ville plus végétale, écologique et solidaire ont été entendus. Il s’agit toutefois d’une augmentation encore bien timide, qui ne permettra pas à ce rythme de faire face aux enjeux que les espaces verts peuvent résoudre et que nous mettons en avant depuis plusieurs années !
L’Union Nationale des Entreprises du Paysage (Unep), en partenariat avec Hortis , les responsables d’espaces nature en ville, dévoile les résultats de l’édition 2020 du Palmarès des villes vertes :
Angers, Nantes et Metz sont à la tête du classement des Villes les plus vertes, grâce à un patrimoine végétal important et à un volontarisme politique fort. Elles sont suivies de près par Amiens et Lyon.
La surface moyenne d’espace vert par habitant a progressé de 3m² (51m², contre 48m² en 2017)
Le budget moyen par habitant dédié aux espaces verts par les villes est lui aussi en (très légère) progression : +1,50€ (76€)
Cette 3e édition révèle que la préservation du patrimoine végétal urbain et son développement ont accédé au rang de priorités politiques pour la plupart des grandes villes du pays.
Dossier complet
Le Palmarès des villes vertes 2020 en un coup d’œil