Constatant le manque d’informations sur les approches non médicamenteuses de l’accompagnement de la maladie d’Alzheimer, la Fondation Médéric Alzheimer, avec le soutien de la CNSA, a conduit une étude de préfiguration d’un centre de ressources dédié, s’inspirant des what works centres britanniques.
Musicothérapie, médiation animale, atelier mémoire … les approches non-médicamenteuses de l’accompagnement des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ou d’une maladie apparentée sont relativement bien connues et largement présentées et discutées lors de colloques sur le sujet. Pour autant, leur mise en œuvre est loin d’être systématique : un tiers des établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) seulement propose une activité de musicothérapie par exemple. Plusieurs explications à cet écart entre intention et action : d’une part, les acteurs de terrain manquent d’informations sur les modalités concrètes de mise en œuvre de ces approches (indications et mode d’emploi) ; d’autre part, il existe peu de ressources accessibles permettant d’éclairer la décision du décideur ou du financeur de développer telle ou telle approche par des éléments témoignant de leur efficacité voire de leur efficience.
Au sommaire
- Un centre de ressources utile à tous les acteurs du secteur, décideurs et financeurs, professionnels, comme personnes malades et aidants, pour mieux appréhender ces formes d’accompagnement
- Un centre de ressources qui reposerait sur un consensus des parties prenantes
- Les perspectives
CNSA - Article complet - 2020-02-27
Musicothérapie, médiation animale, atelier mémoire … les approches non-médicamenteuses de l’accompagnement des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ou d’une maladie apparentée sont relativement bien connues et largement présentées et discutées lors de colloques sur le sujet. Pour autant, leur mise en œuvre est loin d’être systématique : un tiers des établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) seulement propose une activité de musicothérapie par exemple. Plusieurs explications à cet écart entre intention et action : d’une part, les acteurs de terrain manquent d’informations sur les modalités concrètes de mise en œuvre de ces approches (indications et mode d’emploi) ; d’autre part, il existe peu de ressources accessibles permettant d’éclairer la décision du décideur ou du financeur de développer telle ou telle approche par des éléments témoignant de leur efficacité voire de leur efficience.
Au sommaire
- Un centre de ressources utile à tous les acteurs du secteur, décideurs et financeurs, professionnels, comme personnes malades et aidants, pour mieux appréhender ces formes d’accompagnement
- Un centre de ressources qui reposerait sur un consensus des parties prenantes
- Les perspectives
CNSA - Article complet - 2020-02-27