L’ONB incorpore cinq nouveaux indicateurs aux 89 existants pour mesurer et analyser, toujours plus finement, l’état de la biodiversité en France, et sa prise en compte par la société.
1. Un premier indicateur vient illustrer le degré de naturalité des cours d’eau . Un cours d’eau naturel est une rivière sur laquelle on ne trouve aucune trace d’ouvrages humains (barrage, digue, bords bétonnés ...) ce qui représente en France 8,4% des rivières dites encore "sauvages", un chiffre plutôt stable.
2. Plus 77% en 30 ans : c'est le chiffre encourageant des oiseaux d'eau voyageur toujours plus nombreux à venir hiverner en France, regroupés sous l'appellation "population d'oiseaux d'eau hivernants" . Une bonne nouvelle que les scientifiques attribuent à l’instauration efficace de réglementations protégeant certaines espèces.
3. L’offre de formation sur la biodiversité a le vent en poupe avec une augmentation, +2.9% entre 2008 et 2015 et +38% sur cette même période si on considère l'environnement en général, faisant de ce secteur un créneau porteur.
4. Les écosystèmes entre terre et eau (mares, lagunes, étangs, prairies inondées...communément appelés "zones humides") et qui constituent un véritable refuge pour la faune et la flore, font les frais de l’artificialisation des sols et d’une trop méconnaissance du grand public. L'enjeu majeur est ici de faire découvrir ces milieux, aussi un indicateur fait-il son apparition pour illustrer la manière dont la connaissance de ces écosystèmes se démocratise : il s'agit du "nombre d'animation zones humides "
5. Cet été, des cours d’eau assechés ont été observés dans 90 départements, un record depuis la création de l’observatoire. Notre pays n’est pas épargné par les sécheresses toujours plus marquées qui découlent du réchauffement climatique global.
L'ensemble des indicateurs de l’ONB
1. Un premier indicateur vient illustrer le degré de naturalité des cours d’eau . Un cours d’eau naturel est une rivière sur laquelle on ne trouve aucune trace d’ouvrages humains (barrage, digue, bords bétonnés ...) ce qui représente en France 8,4% des rivières dites encore "sauvages", un chiffre plutôt stable.
2. Plus 77% en 30 ans : c'est le chiffre encourageant des oiseaux d'eau voyageur toujours plus nombreux à venir hiverner en France, regroupés sous l'appellation "population d'oiseaux d'eau hivernants" . Une bonne nouvelle que les scientifiques attribuent à l’instauration efficace de réglementations protégeant certaines espèces.
3. L’offre de formation sur la biodiversité a le vent en poupe avec une augmentation, +2.9% entre 2008 et 2015 et +38% sur cette même période si on considère l'environnement en général, faisant de ce secteur un créneau porteur.
4. Les écosystèmes entre terre et eau (mares, lagunes, étangs, prairies inondées...communément appelés "zones humides") et qui constituent un véritable refuge pour la faune et la flore, font les frais de l’artificialisation des sols et d’une trop méconnaissance du grand public. L'enjeu majeur est ici de faire découvrir ces milieux, aussi un indicateur fait-il son apparition pour illustrer la manière dont la connaissance de ces écosystèmes se démocratise : il s'agit du "nombre d'animation zones humides "
5. Cet été, des cours d’eau assechés ont été observés dans 90 départements, un record depuis la création de l’observatoire. Notre pays n’est pas épargné par les sécheresses toujours plus marquées qui découlent du réchauffement climatique global.
L'ensemble des indicateurs de l’ONB