Plusieurs variations fictives de prestations sociales et prélèvements directs sont simulées sur l’année 2018 afin d’évaluer leurs effets sur le niveau de vie des ménages et les inégalités, mesurées par différents indicateurs comme le taux de pauvreté, le rapport interdécile ou l’indice de Gini.
Ainsi, une hausse de 5 % du montant forfaitaire du RSA diminuerait le taux de pauvreté de 0,1 point et l’intensité de la pauvreté de 0,7 point. Un accroissement de 5 % de la base mensuelle de calcul des allocations familiales augmenterait le niveau de vie moyen des bénéficiaires de prestations familiales de 0,2 %. Une hausse de 5 % du barème des aides au logement diminuerait le taux de pauvreté de 0,3 point. Enfin, une progression de 5 % des tranches de l’impôt sur le revenu exonérerait plus d’un million de ménages mais serait sans effet sur les ménages les plus modestes. Elle accroîtrait légèrement les inégalités, le rapport interdécile augmentant de 0,02 (soit + 0,7 %).
Sommaire
- Les effets redistributifs de variations de prestations sociales et de prélèvements
- Une hausse de 5 % du RSA diminuerait le taux de pauvreté de 0,1 point et l’intensité de la pauvreté de 0,7 point
- Une hausse de 5 % des prestations familiales augmenterait le niveau de vie moyen des bénéficiaires de 0,2 %
- Augmenter de 5 % le barème des aides au logement baisserait le taux de pauvreté de 0,3 point
- Une hausse de 5 % des tranches de l’impôt sur le revenu exonérerait un million de ménages
INSEE ANALYSES No 50 - 2020-01-23
Ainsi, une hausse de 5 % du montant forfaitaire du RSA diminuerait le taux de pauvreté de 0,1 point et l’intensité de la pauvreté de 0,7 point. Un accroissement de 5 % de la base mensuelle de calcul des allocations familiales augmenterait le niveau de vie moyen des bénéficiaires de prestations familiales de 0,2 %. Une hausse de 5 % du barème des aides au logement diminuerait le taux de pauvreté de 0,3 point. Enfin, une progression de 5 % des tranches de l’impôt sur le revenu exonérerait plus d’un million de ménages mais serait sans effet sur les ménages les plus modestes. Elle accroîtrait légèrement les inégalités, le rapport interdécile augmentant de 0,02 (soit + 0,7 %).
Sommaire
- Les effets redistributifs de variations de prestations sociales et de prélèvements
- Une hausse de 5 % du RSA diminuerait le taux de pauvreté de 0,1 point et l’intensité de la pauvreté de 0,7 point
- Une hausse de 5 % des prestations familiales augmenterait le niveau de vie moyen des bénéficiaires de 0,2 %
- Augmenter de 5 % le barème des aides au logement baisserait le taux de pauvreté de 0,3 point
- Une hausse de 5 % des tranches de l’impôt sur le revenu exonérerait un million de ménages
INSEE ANALYSES No 50 - 2020-01-23