2177 agents et cadres territoriaux ont témoigné de leur quotidien dans ce contexte, de leurs conditions de travail et de vie, de l’adaptation de leur organisation.
Une enquête couvrant a minima des employeurs reunissant 300 000 agents et cadres
L’enquête couvre a minima des employeurs territoriaux réunissant 300 000 agents et cadres territoriaux (15% de la FPT). Ce calcul est réalisé à partir de l’indentification des employeurs d’une partie de répondant-e-s.
Quelques résultats globaux
- Des effets certains sur le sommeil, le stress, vie familiale, appétit, concentration
- Des positions administratives hétérogènes et subies
- En présentiel, des agents et cadres n’ayant pas tous accès à des équipements de protection individuelle
- 10% des agents et cadres en présentiel ont envisagé le recours au droit de retrait
- En travail à domicile, une dotation en moyens professionnels insuffisante et un recours aux équipements personnels.
- Une perte de lien avec le collectif de travail
- Un impact négatif pour les usagers
- Des agents et cadres sous informés
- Un management dématérialisé et en perte de contrôle
- Un droit de retrait observé plus qu’à l’ordinaire au sein de l’organisation
- Des employeurs qui réunissent peu les CHSCT
- Des syndicats diffusant une information syndicale pour 6 répondant-e-s sur 10, mais ayant disparus pour 4 répondant-e-s sur 10.
Quelques résultats spécifiques au cadres
1096 cadres ont répondu, majoritairement des femmes, des A, des titulaires
- Des convergences et des divergences observées et liées à la place, au rôle et à la culture professionnelle des cadres
- Des effets individuels certains mais qui différent pour partie de l’ensemble de la FPT
- Une évolution du travail vécue différemment
- Des cadres mieux informés et mieux dotés en équipements professionnels
- Des cadres moins prompts à user du droit de retrait mais qui observent son recours d’avantage que le reste de la FPT
- Un management à distance renforcé pour les cadres
Les résultats bruts et la fiche synthèse accessibles sur le site de L’UFICT
www.cadresterritoriauxcgt.fr
Une enquête couvrant a minima des employeurs reunissant 300 000 agents et cadres
L’enquête couvre a minima des employeurs territoriaux réunissant 300 000 agents et cadres territoriaux (15% de la FPT). Ce calcul est réalisé à partir de l’indentification des employeurs d’une partie de répondant-e-s.
Quelques résultats globaux
- Des effets certains sur le sommeil, le stress, vie familiale, appétit, concentration
- Des positions administratives hétérogènes et subies
- En présentiel, des agents et cadres n’ayant pas tous accès à des équipements de protection individuelle
- 10% des agents et cadres en présentiel ont envisagé le recours au droit de retrait
- En travail à domicile, une dotation en moyens professionnels insuffisante et un recours aux équipements personnels.
- Une perte de lien avec le collectif de travail
- Un impact négatif pour les usagers
- Des agents et cadres sous informés
- Un management dématérialisé et en perte de contrôle
- Un droit de retrait observé plus qu’à l’ordinaire au sein de l’organisation
- Des employeurs qui réunissent peu les CHSCT
- Des syndicats diffusant une information syndicale pour 6 répondant-e-s sur 10, mais ayant disparus pour 4 répondant-e-s sur 10.
Quelques résultats spécifiques au cadres
1096 cadres ont répondu, majoritairement des femmes, des A, des titulaires
- Des convergences et des divergences observées et liées à la place, au rôle et à la culture professionnelle des cadres
- Des effets individuels certains mais qui différent pour partie de l’ensemble de la FPT
- Une évolution du travail vécue différemment
- Des cadres mieux informés et mieux dotés en équipements professionnels
- Des cadres moins prompts à user du droit de retrait mais qui observent son recours d’avantage que le reste de la FPT
- Un management à distance renforcé pour les cadres
Les résultats bruts et la fiche synthèse accessibles sur le site de L’UFICT
www.cadresterritoriauxcgt.fr