Chaque année, 33 000 personnes en Europe et 700 000 dans le monde meurent des suites d’une infection par des bactéries pharmacorésistantes. L’OMS/Europe préconise l’adoption de l’approche "Un monde, une santé" comme la seule solution viable à la résistance aux antimicrobiens.
L’action commence par une bonne planification
Tous les pays de la Région ont élaboré ou sont en train d’élaborer un plan d’action national pour combattre la résistance aux antimicrobiens, assorti d’une série de mesures visant à contrer, ou du moins à ralentir, cette grave menace. Il peut notamment s’agir de lignes directrices à l’intention des professionnels de santé sur la façon d’utiliser les antibiotiques ainsi que sur les médicaments à administrer dans différentes situations, ou d’une législation limitant la vente d’antibiotiques et améliorant la qualité des laboratoires et des systèmes de surveillance.
Lors de l’élaboration de leur plan d’action, les pays ont été encouragés à adopter l’approche "Un monde, une santé" comme principe directeur général. Les plans s’inspirant de cette approche facilitent la coordination intersectorielle conformément aux plans et politiques nationaux en vue notamment :
- de réduire la prescription et la consommation inutiles d’antibiotiques dans les secteurs de la médecine humaine et vétérinaire ;
- de prévenir les infections chez l’homme et l’animal en premier lieu grâce à l’amélioration des mesures d’hygiène et à la vaccination.
L’approche "Un monde, une santé" n’est pas facultative - c’est une exigence fondamentale
Compte tenu de la complexité de la résistance aux antimicrobiens, cette approche n’est pas facultative - c’est une exigence fondamentale aux niveaux national et international."
"L’adoption de l’approche "Un monde, une santé" ne signifie pas que les différents secteurs doivent intervenir à tous les niveaux de la lutte contre la résistance aux antimicrobiens, mais qu’ils doivent veiller ensemble à ce qu’une action soit prise à tous les niveaux", poursuit-il. "En d’autres termes, les secteurs doivent être chacun conscients du rôle qu’ils ont à jouer et assumer leurs responsabilités. La Semaine mondiale pour un bon usage des antibiotiques est l’occasion de célébrer les succès, et de réfléchir à ce qu’il reste à faire pour lutter contre la résistance aux antimicrobiens."
OMS - Communiqué complet - 2019-11-19
L’action commence par une bonne planification
Tous les pays de la Région ont élaboré ou sont en train d’élaborer un plan d’action national pour combattre la résistance aux antimicrobiens, assorti d’une série de mesures visant à contrer, ou du moins à ralentir, cette grave menace. Il peut notamment s’agir de lignes directrices à l’intention des professionnels de santé sur la façon d’utiliser les antibiotiques ainsi que sur les médicaments à administrer dans différentes situations, ou d’une législation limitant la vente d’antibiotiques et améliorant la qualité des laboratoires et des systèmes de surveillance.
Lors de l’élaboration de leur plan d’action, les pays ont été encouragés à adopter l’approche "Un monde, une santé" comme principe directeur général. Les plans s’inspirant de cette approche facilitent la coordination intersectorielle conformément aux plans et politiques nationaux en vue notamment :
- de réduire la prescription et la consommation inutiles d’antibiotiques dans les secteurs de la médecine humaine et vétérinaire ;
- de prévenir les infections chez l’homme et l’animal en premier lieu grâce à l’amélioration des mesures d’hygiène et à la vaccination.
L’approche "Un monde, une santé" n’est pas facultative - c’est une exigence fondamentale
Compte tenu de la complexité de la résistance aux antimicrobiens, cette approche n’est pas facultative - c’est une exigence fondamentale aux niveaux national et international."
"L’adoption de l’approche "Un monde, une santé" ne signifie pas que les différents secteurs doivent intervenir à tous les niveaux de la lutte contre la résistance aux antimicrobiens, mais qu’ils doivent veiller ensemble à ce qu’une action soit prise à tous les niveaux", poursuit-il. "En d’autres termes, les secteurs doivent être chacun conscients du rôle qu’ils ont à jouer et assumer leurs responsabilités. La Semaine mondiale pour un bon usage des antibiotiques est l’occasion de célébrer les succès, et de réfléchir à ce qu’il reste à faire pour lutter contre la résistance aux antimicrobiens."
OMS - Communiqué complet - 2019-11-19