L’enquête s’est intéressée aux espaces de vie, aux revenus, au travail et au télétravail, aux enfants et aux relations familiales, à l’entourage et au sentiment d’isolement, aux jeunes et à la solidarité familiale pendant la pandémie.
Les premiers résultats révèlent des changements importants dans les conditions de vie au quotidien, ainsi que dans l’usage et l’occupation du logement. Ils montrent également combien le confinement a accentué les écarts sociaux au sein de la société française, au détriment des femmes, des jeunes et des plus modestes.
Au sommaire
- Les Français ne sont pas mal logés.
- Mais la pandémie, et le confinement qu’elle a entraîné, ont changé leurs conditions de vie au quotidien, bouleversé l’usage et l’occupation du logement, et drastiquement accentué les écarts sociaux. Au risque d’un décrochage.
- Le confinement a également renforcé la pression sur l’occupation du logement et les situations de surpeuplement en France.
- Parmi les actifs qui avaient un emploi avant le début du confinement, seuls 58 % d’entre eux travaillent encore à la 7è semaine de confinement.
- Les femmes sont plus affectées que les hommes par les conséquences économiques et matérielles de la pandémie.
- Les jeunes paient un lourd tribut à la pandémie.
INED - Etude complète - 2020- 05-12
Les premiers résultats révèlent des changements importants dans les conditions de vie au quotidien, ainsi que dans l’usage et l’occupation du logement. Ils montrent également combien le confinement a accentué les écarts sociaux au sein de la société française, au détriment des femmes, des jeunes et des plus modestes.
Au sommaire
- Les Français ne sont pas mal logés.
- Mais la pandémie, et le confinement qu’elle a entraîné, ont changé leurs conditions de vie au quotidien, bouleversé l’usage et l’occupation du logement, et drastiquement accentué les écarts sociaux. Au risque d’un décrochage.
- Le confinement a également renforcé la pression sur l’occupation du logement et les situations de surpeuplement en France.
- Parmi les actifs qui avaient un emploi avant le début du confinement, seuls 58 % d’entre eux travaillent encore à la 7è semaine de confinement.
- Les femmes sont plus affectées que les hommes par les conséquences économiques et matérielles de la pandémie.
- Les jeunes paient un lourd tribut à la pandémie.
INED - Etude complète - 2020- 05-12