D’après les résultats de l’Observatoire "Open data des territoires" seules "460 collectivités, dont 268 communes et 131 EPCI, avaient ouvert leurs données en octobre 2019", soit 10,2 % des collectivités concernées par l’obligation.
A périmètre constant, incluant les communes, les EPCI à fiscalité propre, les conseils départementaux et régionaux, le nombre de collectivités territoriales engagées dans une démarche open data est en progression continue depuis octobre 2016. En octobre 2019, 460 collectivités participent à l’ouverture des données publiques dans les territoires.
L’identification et le décompte s’appuient sur un critère simple : est considérée comme "engagée" une collectivité qui a effectivement publié a minima un jeu de données sur une plateforme open data.
Pour rappel, 4510 collectivités sont concernées par la mise en application du principe d’open data par défaut.
La carte des acteurs fait apparaître une généralisation des politiques d’ouverture des données publiques sur le territoire métropolitains.
Le niveau d’engagement semble être plus élevé dans les territoires où des pionniers interviennent (effet mimétique) et où des initiatives de mutualisation, de mise en réseau, d’animation et d’accompagnement ont réussi à créer une dynamique d’entraînement. Les départements et territoires d’Outre-Mer sont encore peu représentés. La Réunion, la Calédonie, les Antilles vont prochainement ouvrir leur portail dans une approche convergente OD/Système d’Information Géographique.
La proportion de collectivités publiant des données ouvertes augmente en fonction de leur position dans la hiérarchie des échelons administratifs locaux.
La totalité des conseils régionaux en métropole la moitié des conseils départementaux, presque toutes les métropoles, les communes et autres EPCI de taille importante participent aujourd’hui à l’ouverture des données publiques.
Saisissant, une très faible part des communes et des EPCI de moins de 100 000 habitants publient leurs données. Celles qui le font sont généralement accompagnées par les structures de niveau supérieur (R, D, M et SMI).
Bien que non concernées par la loi République numérique, quelques communes de moins de 3500 hab. ouvrent leur données, et très souvent avec un qualité remarquable, signe de leur motivation ou de l’assistance dont elles bénéficient.
Observatoire complet - Décembre 2019
A périmètre constant, incluant les communes, les EPCI à fiscalité propre, les conseils départementaux et régionaux, le nombre de collectivités territoriales engagées dans une démarche open data est en progression continue depuis octobre 2016. En octobre 2019, 460 collectivités participent à l’ouverture des données publiques dans les territoires.
L’identification et le décompte s’appuient sur un critère simple : est considérée comme "engagée" une collectivité qui a effectivement publié a minima un jeu de données sur une plateforme open data.
Pour rappel, 4510 collectivités sont concernées par la mise en application du principe d’open data par défaut.
La carte des acteurs fait apparaître une généralisation des politiques d’ouverture des données publiques sur le territoire métropolitains.
Le niveau d’engagement semble être plus élevé dans les territoires où des pionniers interviennent (effet mimétique) et où des initiatives de mutualisation, de mise en réseau, d’animation et d’accompagnement ont réussi à créer une dynamique d’entraînement. Les départements et territoires d’Outre-Mer sont encore peu représentés. La Réunion, la Calédonie, les Antilles vont prochainement ouvrir leur portail dans une approche convergente OD/Système d’Information Géographique.
La proportion de collectivités publiant des données ouvertes augmente en fonction de leur position dans la hiérarchie des échelons administratifs locaux.
La totalité des conseils régionaux en métropole la moitié des conseils départementaux, presque toutes les métropoles, les communes et autres EPCI de taille importante participent aujourd’hui à l’ouverture des données publiques.
Saisissant, une très faible part des communes et des EPCI de moins de 100 000 habitants publient leurs données. Celles qui le font sont généralement accompagnées par les structures de niveau supérieur (R, D, M et SMI).
Bien que non concernées par la loi République numérique, quelques communes de moins de 3500 hab. ouvrent leur données, et très souvent avec un qualité remarquable, signe de leur motivation ou de l’assistance dont elles bénéficient.
Observatoire complet - Décembre 2019