Extrait de réponse orale : "…Le Gouvernement a ouvert aux associations l’accès à tous les dispositifs de soutien - fonds de solidarité, chômage partiel, exonération de charges -, comme à n’importe quelle entreprise.
De son côté, l’Agence nationale du sport a maintenu et adapté l’ensemble de ses dispositifs de soutien à l’emploi et aux projets sportifs fédéraux qui irriguent désormais le tissu associatif local, aux côtés des collectivités locales, avec lesquelles nous sommes en contact permanent pour qu’elles aussi maintiennent leurs subventions au sport.
Les associations continueront d’être soutenues car elles ne reprendront pas à plein régime immédiatement. La pratique sportive est entrée dans le quotidien des citoyens confinés, vous l’avez fait observer. Elle devra affronter le défi d’une reprise en groupe, dans un club, dans une équipe. Le sport qui se regarde à la télévision, celui qui se vend, celui qui rapporte de l’argent au sport qui se pratique, au sport pour tous, est en grande difficulté. Il faut l’aider, lui aussi, à se relever.
Nous préparons un projet de relance du sport, cohérent avec les projets des territoires.
Les enjeux seront de remettre les Français en mouvement, pour bouger et s’engager, de garder captifs les fonds privés investis dans le sport, de sanctuariser les subventions publiques dédiées au sport et de travailler à ouvrir de nouvelles portes à nos associations, à commencer par celles de l’école. Au-delà de la reprise de l’activité de nos clubs, nous devons imaginer le sport de demain, une activité au service de la santé, de l’éducation, du bien-être et du vivre ensemble.
Assemblée Nationale - Question orale - 2020-05-12
De son côté, l’Agence nationale du sport a maintenu et adapté l’ensemble de ses dispositifs de soutien à l’emploi et aux projets sportifs fédéraux qui irriguent désormais le tissu associatif local, aux côtés des collectivités locales, avec lesquelles nous sommes en contact permanent pour qu’elles aussi maintiennent leurs subventions au sport.
Les associations continueront d’être soutenues car elles ne reprendront pas à plein régime immédiatement. La pratique sportive est entrée dans le quotidien des citoyens confinés, vous l’avez fait observer. Elle devra affronter le défi d’une reprise en groupe, dans un club, dans une équipe. Le sport qui se regarde à la télévision, celui qui se vend, celui qui rapporte de l’argent au sport qui se pratique, au sport pour tous, est en grande difficulté. Il faut l’aider, lui aussi, à se relever.
Nous préparons un projet de relance du sport, cohérent avec les projets des territoires.
Les enjeux seront de remettre les Français en mouvement, pour bouger et s’engager, de garder captifs les fonds privés investis dans le sport, de sanctuariser les subventions publiques dédiées au sport et de travailler à ouvrir de nouvelles portes à nos associations, à commencer par celles de l’école. Au-delà de la reprise de l’activité de nos clubs, nous devons imaginer le sport de demain, une activité au service de la santé, de l’éducation, du bien-être et du vivre ensemble.
Assemblée Nationale - Question orale - 2020-05-12