Parmi les dispositions adoptées par les députés:
- instauration d'un "parcours de soins global" pour les personnes ayant reçu un traitement contre le cancer - Ce parcours sera élaboré par l'Agence régionale de santé (ARS) en concertation avec les acteurs concernés, notamment l'Institut national du cancer (Inca), mais également avec les établissements et professionnels de santé, ainsi que les associations. Il s'agira d'un parcours coordonné et individualisé tenant compte des besoins et attentes exprimés par les patients
- expérimentation de l'usage médical du cannabis - Cette expérimentation concernera des personnes souffrant de maladies graves - certaines formes d'épilepsies, de douleurs neuropathiques, d'effets secondaires de chimiothérapie, de soins palliatifs ou contractions musculaires incontrôlées de scléroses en plaques - pour lesquelles les dérivés du cannabis peuvent constituer un apport thérapeutique supplémentaire. Elle sera menée dans plusieurs centres hospitaliers, en particulier des centres de référence pour les pathologies concernées. Une prescription initiale hospitalière sera effectuée par un médecin spécialiste, neurologue ou médecin de la douleur notamment. Les patients devront d'abord se fournir en pharmacie hospitalière puis pourront renouveler leurs traitements en pharmacie de ville.
Assemblée Nationale - Dossier législatif - 2019-10-25
- instauration d'un "parcours de soins global" pour les personnes ayant reçu un traitement contre le cancer - Ce parcours sera élaboré par l'Agence régionale de santé (ARS) en concertation avec les acteurs concernés, notamment l'Institut national du cancer (Inca), mais également avec les établissements et professionnels de santé, ainsi que les associations. Il s'agira d'un parcours coordonné et individualisé tenant compte des besoins et attentes exprimés par les patients
- expérimentation de l'usage médical du cannabis - Cette expérimentation concernera des personnes souffrant de maladies graves - certaines formes d'épilepsies, de douleurs neuropathiques, d'effets secondaires de chimiothérapie, de soins palliatifs ou contractions musculaires incontrôlées de scléroses en plaques - pour lesquelles les dérivés du cannabis peuvent constituer un apport thérapeutique supplémentaire. Elle sera menée dans plusieurs centres hospitaliers, en particulier des centres de référence pour les pathologies concernées. Une prescription initiale hospitalière sera effectuée par un médecin spécialiste, neurologue ou médecin de la douleur notamment. Les patients devront d'abord se fournir en pharmacie hospitalière puis pourront renouveler leurs traitements en pharmacie de ville.
Assemblée Nationale - Dossier législatif - 2019-10-25