Suite à l’adoption de la loi LOM, qui prévoit l’ouverture des données et l’interdiction de vente de voitures à énergies fossiles carbonées d’ici 2040, BVA publie une étude au sujet de l’opinion des citadins vis-à-vis de leurs déplacements au quotidien.
Le besoin de développer au-delà des infrastructures des services de mobilité répondant à la diminution de l’espace disponible émerge. Avec des interconnexions plus fluides et un cadencement adapté aux besoins de déplacements, les pratiques digitales actuelles apparaissent comme un des leviers du changement.
Un ressenti plutôt positif, mais des différences de perception selon la taille de la ville.
- Plus de 60% définissent leurs déplacements du quotidien comme sûrs, faciles et rapides.
- 60% des habitants des villes de plus de 100 000 habitants jugent la qualité de l’air mauvaise.
- 52% des habitants de villes de moins de 20 000 habitants trouvent qu’il est coûteux de se déplacer.
Une situation qui tend à se détériorer en raison du manque d’espace (selon 38%).
33% citent spontanément la saturation du trafic, 19% les travaux ou aménagements.
A 10 ans la principale priorité évoquée est la diminution de la pollution atmosphérique (26%).
- Viennent ensuite coût limité et l’accessibilité dans les villes de moins de 100 000 habitants.
- Viennent ensuite sécurité et rapidité dans les villes de plus de 100 000 habitants.
Les citadins s’estiment bien informés (77%), le problème se situerait donc plutôt dans l’offre.
- 83% déclarent utiliser une application pour faciliter leurs déplacements.
- Seuls 42% des citadins pensent qu’il existe des alternatives (et seulement 29% des habitants de villes de moins de 20 000 habitants).
À ce jour le multimodal ne fait pas l’unanimité y compris auprès de ceux qui le pratiquent (51% d’entre eux s’estiment satisfaits de cette solution.)
- 31% des interviewés utilisent plusieurs modes pour un trajet chaque semaine, 12% chaque jour.
- Moins de 30% de ceux qui ne l’utilisent pas l’envisagent.
BVA - Etude complète - 2019-12-02
Le besoin de développer au-delà des infrastructures des services de mobilité répondant à la diminution de l’espace disponible émerge. Avec des interconnexions plus fluides et un cadencement adapté aux besoins de déplacements, les pratiques digitales actuelles apparaissent comme un des leviers du changement.
Un ressenti plutôt positif, mais des différences de perception selon la taille de la ville.
- Plus de 60% définissent leurs déplacements du quotidien comme sûrs, faciles et rapides.
- 60% des habitants des villes de plus de 100 000 habitants jugent la qualité de l’air mauvaise.
- 52% des habitants de villes de moins de 20 000 habitants trouvent qu’il est coûteux de se déplacer.
Une situation qui tend à se détériorer en raison du manque d’espace (selon 38%).
33% citent spontanément la saturation du trafic, 19% les travaux ou aménagements.
A 10 ans la principale priorité évoquée est la diminution de la pollution atmosphérique (26%).
- Viennent ensuite coût limité et l’accessibilité dans les villes de moins de 100 000 habitants.
- Viennent ensuite sécurité et rapidité dans les villes de plus de 100 000 habitants.
Les citadins s’estiment bien informés (77%), le problème se situerait donc plutôt dans l’offre.
- 83% déclarent utiliser une application pour faciliter leurs déplacements.
- Seuls 42% des citadins pensent qu’il existe des alternatives (et seulement 29% des habitants de villes de moins de 20 000 habitants).
À ce jour le multimodal ne fait pas l’unanimité y compris auprès de ceux qui le pratiquent (51% d’entre eux s’estiment satisfaits de cette solution.)
- 31% des interviewés utilisent plusieurs modes pour un trajet chaque semaine, 12% chaque jour.
- Moins de 30% de ceux qui ne l’utilisent pas l’envisagent.
BVA - Etude complète - 2019-12-02