Ce dossier interroge :
- les caractéristiques des familles au moment du choix du mode d’accueil pour leur jeune enfant ;
- le souhait et les raisons de réduire ou de cesser de travailler ;
- les attentes des parents vis-à-vis du mode d’accueil pour leur enfant et pour eux-mêmes ;
- les recours aux différents modes d’accueil ;
- la connaissance et l’usage des compléments d’activité.
Avant la naissance de leur enfant, les trois quarts des parents interrogés occupaient un emploi, il s’agit pour la plupart d’un emploi à temps plein en CDI. A l’échelle du ménage, plus d’un enfant sur 2 est né dans une famille biactive, et 15 % des enfants sont accueillis dans des foyers où aucun des parents ne travaille. Par ailleurs, dans la majorité des cas, l’enfant arrive dans un foyer où le parcours professionnel du parent interrogé est décrit comme "stable et régulier, sans attente de perspective particulière d’évolution".
Avec l’arrivée d’un enfant, au moment du choix du mode d’accueil, un tiers des personnes interrogées pensent que l’arrivée de leur enfant pourrait pénaliser leur carrière professionnelle et un tiers indiquerait que s’il faisait une demande de temps partiel, elle serait plutôt mal acceptée. Ces proportions sont cependant très différentes selon le parent : la demande de temps partiel serait accueillie plus favorablement par les mères que par les pères.
Les caractéristiques des parents vis‐à‐vis de l’emploi n’ont pas évolué entre les deux générations de parents interrogés 2013 et 2016. En revanche, des évolutions sur l’appréciation du temps partiel et le lien entre carrière professionnelle et l’arrivée de l’enfant apparaissent. En effet, l’appréciation d’une demande de temps partiel serait accueillie plus favorablement en 2016 qu’en 2013 alors que le sentiment que l’arrivée de l’enfant pourrait pénaliser la carrière professionnelle progresse de 4 points entre les deux générations.
CNAF - Dossier d’étude n°208 - 2019-09-12
- les caractéristiques des familles au moment du choix du mode d’accueil pour leur jeune enfant ;
- le souhait et les raisons de réduire ou de cesser de travailler ;
- les attentes des parents vis-à-vis du mode d’accueil pour leur enfant et pour eux-mêmes ;
- les recours aux différents modes d’accueil ;
- la connaissance et l’usage des compléments d’activité.
Avant la naissance de leur enfant, les trois quarts des parents interrogés occupaient un emploi, il s’agit pour la plupart d’un emploi à temps plein en CDI. A l’échelle du ménage, plus d’un enfant sur 2 est né dans une famille biactive, et 15 % des enfants sont accueillis dans des foyers où aucun des parents ne travaille. Par ailleurs, dans la majorité des cas, l’enfant arrive dans un foyer où le parcours professionnel du parent interrogé est décrit comme "stable et régulier, sans attente de perspective particulière d’évolution".
Avec l’arrivée d’un enfant, au moment du choix du mode d’accueil, un tiers des personnes interrogées pensent que l’arrivée de leur enfant pourrait pénaliser leur carrière professionnelle et un tiers indiquerait que s’il faisait une demande de temps partiel, elle serait plutôt mal acceptée. Ces proportions sont cependant très différentes selon le parent : la demande de temps partiel serait accueillie plus favorablement par les mères que par les pères.
Les caractéristiques des parents vis‐à‐vis de l’emploi n’ont pas évolué entre les deux générations de parents interrogés 2013 et 2016. En revanche, des évolutions sur l’appréciation du temps partiel et le lien entre carrière professionnelle et l’arrivée de l’enfant apparaissent. En effet, l’appréciation d’une demande de temps partiel serait accueillie plus favorablement en 2016 qu’en 2013 alors que le sentiment que l’arrivée de l’enfant pourrait pénaliser la carrière professionnelle progresse de 4 points entre les deux générations.
CNAF - Dossier d’étude n°208 - 2019-09-12