À la demande de la Direction générale de la santé, l’INRS, la Mairie de Paris, la Cramif et le Centre technique international de la propreté (CITP) ont étudié les expositions professionnelles et environnementales aux fibres d’amiante lors des opérations d’entretien de dalles de sol vinyle amiante.
Ces dalles, encore très répandues dans les établissements publics, les bureaux ou les logements, sont entretenues périodiquement avec des moyens mécanisés, parfois abrasifs et susceptibles d’émettre des fibres d’amiante.
Les résultats de cette étude sont proposés en téléchargement.
Principales conclusions
- Les modes opératoires testés au cours de cette étude, s’ils sont correctement mis en œuvre, n’émettent pas de fibres d’amiante réglementaires dans l’air.
- En revanche, certaines opérations comme le lustrage ou le décapage humide peuvent être sources de fibres courtes d’amiante dans l’environnement.
- Par ailleurs, tous les consommables et les effluents liquides sont contaminés par l’amiante à l’issue de ces opérations et doivent être considérés et éliminés comme des déchets amiantés.
INRS - Dossier complet - 2020-01-31
Ces dalles, encore très répandues dans les établissements publics, les bureaux ou les logements, sont entretenues périodiquement avec des moyens mécanisés, parfois abrasifs et susceptibles d’émettre des fibres d’amiante.
Les résultats de cette étude sont proposés en téléchargement.
Principales conclusions
- Les modes opératoires testés au cours de cette étude, s’ils sont correctement mis en œuvre, n’émettent pas de fibres d’amiante réglementaires dans l’air.
- En revanche, certaines opérations comme le lustrage ou le décapage humide peuvent être sources de fibres courtes d’amiante dans l’environnement.
- Par ailleurs, tous les consommables et les effluents liquides sont contaminés par l’amiante à l’issue de ces opérations et doivent être considérés et éliminés comme des déchets amiantés.
INRS - Dossier complet - 2020-01-31