Une majorité d’étudiants franciliens jugent tout à fait prioritaire la lutte contre le réchauffement climatique. Beaucoup y participent en adaptant leurs comportements, et parfois en rejoignant des mouvements collectifs.
Leur niveau de préoccupation ne se reflète pourtant pas toujours dans leurs pratiques, en raison d’un manque d’information et, surtout, de la précarité et des arbitrages économiques auxquels ils sont contraints.
Institut Paris Région >> Note rapide Société-Habitat, n° 978
Leur niveau de préoccupation ne se reflète pourtant pas toujours dans leurs pratiques, en raison d’un manque d’information et, surtout, de la précarité et des arbitrages économiques auxquels ils sont contraints.