Les enseignements de cette étude montrent que les trois sujets qui préoccupent en priorité les Français sont la santé en premier (pour 22% d’entre eux) devant le pouvoir d’achat (18%) et l’environnement (17%). Les inégalités sociales, l’insécurité, le terrorisme, l’école et le logement arrivant loin derrière (moins de 10%).
La plupart des Français pensent que leur santé est impactée par l’environnement (dont 66% des 25-34 ans et 63% des personnes vivant en agglomération parisienne). 86% pensent que la qualité de l’air a des conséquences directes sur la santé et 1 français sur 2 l’estime comme étant le facteur le plus impactant sur leur santé. 67% sont concernés par la pollution de l’eau et 63% par la pollution des sols.
Au-delà de cette enquête, l’ambition des intervenants du colloque est d’aborder tous les sujets de santé corrélés à l’environnement et de porter un regard transversal (chercheurs, politiques, industriels, associations) sur les enjeux majeurs des pollutions chimiques de l’air, du sol, de notre nutrition. Les chercheurs français très avancés sur le sujet des perturbateurs endocriniens interpellent l’ensemble de la communauté scientifique, institutionnelle et politique pour que collectivement soit relevés les nombreux défis scientifiques et réglementaires qu’ils sous-tendent.
Des Français informés et acteurs du changement
8 Français sur 10 ont déjà entendu parler des perturbateurs endocriniens. Les pesticides, le bisphénol et les parabènes sont parmi les perturbateurs endocriniens les plus connus par les Français. Ils mettent en place des comportements conservateurs par rapport à ces polluants.
En effet, l’enquête révèle que plus d’un Français sur deux évitent l’usage de désherbant ou de pesticide. 40% utilise des produits cosmétiques sans parabènes. 28% privilégient les conserves en verre à celles en l’aluminium.
Les CSP+ et les femmes sont plus investis dans les gestes en faveur de la protection de l’environnement et de prévention de leur santé.
La qualité de l’air en question
Cependant, 69% des Français pensent être mal informés sur la qualité de l’air qu’ils respirent. Et pour deux tiers des Français, la réglementation imposée aux industriels concernant la qualité de l’air n’est pas assez sévère.
39% des Français pensent que c’est l’industrie agroalimentaire qui est aujourd’hui la plus engagée dans la protection de l’environnement devant l’industrie cosmétique (24%) et l’industrie pharmaceutique (16%).
41% des Français se sentent eux-mêmes activement investis dans la protection de l’environnement.
CSA - Etude complète - 2020-01-27
La plupart des Français pensent que leur santé est impactée par l’environnement (dont 66% des 25-34 ans et 63% des personnes vivant en agglomération parisienne). 86% pensent que la qualité de l’air a des conséquences directes sur la santé et 1 français sur 2 l’estime comme étant le facteur le plus impactant sur leur santé. 67% sont concernés par la pollution de l’eau et 63% par la pollution des sols.
Au-delà de cette enquête, l’ambition des intervenants du colloque est d’aborder tous les sujets de santé corrélés à l’environnement et de porter un regard transversal (chercheurs, politiques, industriels, associations) sur les enjeux majeurs des pollutions chimiques de l’air, du sol, de notre nutrition. Les chercheurs français très avancés sur le sujet des perturbateurs endocriniens interpellent l’ensemble de la communauté scientifique, institutionnelle et politique pour que collectivement soit relevés les nombreux défis scientifiques et réglementaires qu’ils sous-tendent.
Des Français informés et acteurs du changement
8 Français sur 10 ont déjà entendu parler des perturbateurs endocriniens. Les pesticides, le bisphénol et les parabènes sont parmi les perturbateurs endocriniens les plus connus par les Français. Ils mettent en place des comportements conservateurs par rapport à ces polluants.
En effet, l’enquête révèle que plus d’un Français sur deux évitent l’usage de désherbant ou de pesticide. 40% utilise des produits cosmétiques sans parabènes. 28% privilégient les conserves en verre à celles en l’aluminium.
Les CSP+ et les femmes sont plus investis dans les gestes en faveur de la protection de l’environnement et de prévention de leur santé.
La qualité de l’air en question
Cependant, 69% des Français pensent être mal informés sur la qualité de l’air qu’ils respirent. Et pour deux tiers des Français, la réglementation imposée aux industriels concernant la qualité de l’air n’est pas assez sévère.
39% des Français pensent que c’est l’industrie agroalimentaire qui est aujourd’hui la plus engagée dans la protection de l’environnement devant l’industrie cosmétique (24%) et l’industrie pharmaceutique (16%).
41% des Français se sentent eux-mêmes activement investis dans la protection de l’environnement.
CSA - Etude complète - 2020-01-27