La France est une puissance de poids dans le domaine du tourisme culturel du fait de l’importance de ses musées, de ses monuments, de ses sites archéologiques et de ses festivals, aux côtés de ses autres atouts : les plages, les montagnes, les petits villages de caractère, les paysages, l’art de vivre (mode, viticulture, gastronomie, cafés, fêtes…).
Ceci contribue à lui assurer la place enviable de première destination touristique dans le monde, du moins en nombre de visiteurs (elle accueille près de 90 millions de visiteurs étrangers par an), à défaut de l’être en termes de recettes .
Une appréhension extensive de la définition du tourisme culturel, où la culture relève d’une approche large, permet d’estimer à environ 40 % la part des touristes culturels dans les flux touristiques internationaux selon l’OCDE , la Commission européenne et l’OMT (Organisation mondiale du tourisme). Les touristes culturels sont ainsi ceux qui visitent des sites culturels durant leur séjour (monuments, musées, centres anciens, sites archéologiques…) ou bien participent à des événements culturels (concerts, spectacles…).
La France, à l’instar de l’Italie, bénéficie bien sûr d’un très fort attrait culturel auprès de la clientèle internationale, même si ce n’est pas son seul atout.
Ainsi, se pencher sur l’avenir du tourisme culturel, c’est s’intéresser à l’avenir du tourisme en France. Nous souhaitons mettre en lumière à ce sujet des "signaux faibles" détectés dans nos recherches avant la crise du Covid-19, qui pourraient prendre une importance nouvelle pour ce secteur après la sortie de crise.
Au sommaire
- Une nécessaire remise en cause
- Le "Flyskam" ou "honte de prendre l’avion"
- Dépendance excessive à la clientèle étrangère
- Recherche de proximité et d’authenticité
- Vers une réorganisation ?
The Conversation France - Article complet - 2020-07-31
Article sous licence Creative Commons
Ceci contribue à lui assurer la place enviable de première destination touristique dans le monde, du moins en nombre de visiteurs (elle accueille près de 90 millions de visiteurs étrangers par an), à défaut de l’être en termes de recettes .
Une appréhension extensive de la définition du tourisme culturel, où la culture relève d’une approche large, permet d’estimer à environ 40 % la part des touristes culturels dans les flux touristiques internationaux selon l’OCDE , la Commission européenne et l’OMT (Organisation mondiale du tourisme). Les touristes culturels sont ainsi ceux qui visitent des sites culturels durant leur séjour (monuments, musées, centres anciens, sites archéologiques…) ou bien participent à des événements culturels (concerts, spectacles…).
La France, à l’instar de l’Italie, bénéficie bien sûr d’un très fort attrait culturel auprès de la clientèle internationale, même si ce n’est pas son seul atout.
Ainsi, se pencher sur l’avenir du tourisme culturel, c’est s’intéresser à l’avenir du tourisme en France. Nous souhaitons mettre en lumière à ce sujet des "signaux faibles" détectés dans nos recherches avant la crise du Covid-19, qui pourraient prendre une importance nouvelle pour ce secteur après la sortie de crise.
Au sommaire
- Une nécessaire remise en cause
- Le "Flyskam" ou "honte de prendre l’avion"
- Dépendance excessive à la clientèle étrangère
- Recherche de proximité et d’authenticité
- Vers une réorganisation ?
The Conversation France - Article complet - 2020-07-31
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