Se développer en harmonie avec son environnement plutôt qu’à ses dépens : un défi pour les villes qu’une économie plus frugale, fondée sur l’utilisation durable des ressources du vivant et la valorisation des déchets organiques peut aider à relever. Les recherches d’INRAE sont mobilisées pour repenser production, transformation, recyclage, intégration dans les territoires et accompagnement des transitions. Cette transformation doit rendre les villes plus résilientes face aux chocs et aux crises tout en assurant un développement durable* dans leurs territoires d’impact.
D’ici 2050, près de sept personnes sur dix devraient vivre en zone urbaine
Actuellement, plus de la moitié de la population mondiale réside en ville. D’ici 2050, ce sont près de sept personnes sur dix qui devraient vivre en zone urbaine selon l’ONU, avec le développement de très grandes métropoles. La tendance à l’urbanisation, au Nord comme au Sud se traduit par une densification de l’habitat et des activités.
Cela pose des défis considérables en matière de gestion des déchets et des eaux usées, d’approvisionnement en aliments mais aussi en eau, énergie, et matériaux.
Au sein des villes s’ajoutent aussi les problèmes croissants de congestion et de pollutions qui affectent la santé et le bien-être de leurs habitants. Avec le changement climatique, les villes seront soumises à des pressions et des risques croissants, comme les disponibilités en eau potable, la gestion des évènements climatiques extrêmes, voire même, à plus long terme, des risques de ruptures d’approvisionnement alimentaire ou énergétique. Des enjeux déjà très présents dans les réflexions de la communauté internationale et à l’échelle de l’Union européenne, que la crise sanitaire de la Covid-19 a remis en évidence pour chacun d’entre nous.
Au sommaire
- Sobriété des consommations, moindre impact sur l’environnement, meilleure qualité de vie
- Une transition des villes connectée aux territoires qui contribuent à leur approvisionnement
- BETTER : des recherches pour une bioéconomie pour les territoires urbains
INRAE - Synthèse complète - 2020-07-06
D’ici 2050, près de sept personnes sur dix devraient vivre en zone urbaine
Actuellement, plus de la moitié de la population mondiale réside en ville. D’ici 2050, ce sont près de sept personnes sur dix qui devraient vivre en zone urbaine selon l’ONU, avec le développement de très grandes métropoles. La tendance à l’urbanisation, au Nord comme au Sud se traduit par une densification de l’habitat et des activités.
Cela pose des défis considérables en matière de gestion des déchets et des eaux usées, d’approvisionnement en aliments mais aussi en eau, énergie, et matériaux.
Au sein des villes s’ajoutent aussi les problèmes croissants de congestion et de pollutions qui affectent la santé et le bien-être de leurs habitants. Avec le changement climatique, les villes seront soumises à des pressions et des risques croissants, comme les disponibilités en eau potable, la gestion des évènements climatiques extrêmes, voire même, à plus long terme, des risques de ruptures d’approvisionnement alimentaire ou énergétique. Des enjeux déjà très présents dans les réflexions de la communauté internationale et à l’échelle de l’Union européenne, que la crise sanitaire de la Covid-19 a remis en évidence pour chacun d’entre nous.
Au sommaire
- Sobriété des consommations, moindre impact sur l’environnement, meilleure qualité de vie
- Une transition des villes connectée aux territoires qui contribuent à leur approvisionnement
- BETTER : des recherches pour une bioéconomie pour les territoires urbains
INRAE - Synthèse complète - 2020-07-06